De retour d’une petite semaine de Camargue, me voilà frustré ! Frustré par ce temps changeant avec de trop courte éclaircie, un ciel gris et une lumière terne. Sans parler de ce vent incessant qui fait que les oiseaux se réfugient (donc difficilement « photographiable ») et qui vous colle un mal de tête pour les non-initiés au mistral et autre tramontane !
Frustré de ne pas avoir pu profiter du lever et couché du soleil grâce à la cuisine de Belambra (oui ce club vacances où l’on voit les enfants courir…Sans doute pour se dépêcher de trouver les toilettes les plus proches) qui a cloué au lit plusieurs personnes (petits et grands).
A un peu plus de 3 heures de route de la Maurienne, cela donne envie d’y retourner un petit week-end…
Place aux photos (en cliquant sur les photos c’est mieux)
Aigrette à ne pas confondre avec le héron garde-boeuf un peu plus petit
Les incontournables taureaux, beaucoup plus agréables à voir dans la nature que dans une arène en train de se faire torturer.
Oh ! vite, encore un taureau…ah non pas vraiment…
Après les taureaux, les chevaux Camarguais sont les dignes représentant de cette région.
A l’état sauvage, certains mettent plusieurs années pour s’acclimater à l’homme. Autre particularité, les petits naissent avec une robe marron clair.
Enfin le dernier animal emblématique de la Camargue est évidemment le flamand rose
Photo de famille
Gravelot à collier interrompu.
Un vrai Speedy Gonzales ce piaf! Il ne s’envole pas, il galope avec ses petites pattes.
Échasse qui comme nous essaye de compenser les rafales de vent.
D’autres à suivre…
2 Commentaires
Magnifiques photos
Merci Françoise, bientôt une mise à jour